Après Du sable et des Playmobil® – fragment d’une guerre d’Algérie, Notre sang n’a pas l’odeur du jasmin est le deuxième volet d’un cycle de recherche initié par Sarah Mouline et sa compagnie sur la rencontre entre nos histoires singulières et la grande Histoire.

  • Texte et mise en scène Sarah Mouline
  • Dramaturgie Zelda Bourquin
  • Avec Gabriel Acremant, Anna Jacob, Jean Joude, Adil Laboudi, Amdi Mansour, Théodora Sadek
  • Création lumière Antoine Duris
  • Création sonore Martin Poncet
  • Construction décor Margaux Michel
  • Production et diffusion Éléonore Damoison

Salwa, jeune journaliste, a déserté sa vie parisienne pour couvrir les soulèvements en Tunisie connus sous le nom de « révolution de jasmin ». Happée par le désir d’être au coeur de l’Histoire, elle se lie à de jeunes militant.e.s et découvre la violence du cadre dans lequel on voudrait les maintenir.

Cette pièce s’est construite à travers un minutieux travail de recherches, en France et en Tunisie et des rencontres avec des étudiant.e.s, militant.e.s et activistes qui ont participé aux soulèvements.

© PHOTOS Zoo Project

Crédits photo Zoo Project

Production Cie Si Ceci Se Sait

Coproduction Théâtre Paris-Villette

Coréalisation Théâtre L’Échangeur – Cie Public Chéri

Résidence de création au Théâtre L’Échangeur et au Grand Parquet, maison d’artistes du Théâtre Paris-Villette

Avec le soutien de la SPEDIDAM, société de perception et de distribution gérant les droits des artistes interprètes et de l’Association Beaumarchais-SACD Ce texte est lauréat de l’Aide à la création de textes dramatiques — ARTCENA et de l’aide à l’écriture Beaumarchais-SACD.

Accueil en résidence Théâtre L’Échangeur – Bagnolet, Grand Parquet – Théâtre Paris-Villette